الأربعاء، 27 يونيو 2018

management participative:
repose sur le pricipes: mobiliser le personnel, mettre en place une politique de developpement deleguer du pouvoir, confier la resolution des problemes aux equipes concernes et  mettre en place un regulation. 
la gestion participative se resume en trois mots: informer,consulter et mobiliser .
l'audite strategique : cherche a verifier est ce que les resultats obtenus sont il satisfaisant, les strategies est elle maitrise, 
l'at: c'est la politique qui consiste a planifier et coordonner l'utilisation du sol.
chart de territoire: contrat social et moral d'une communaute locale qui associe les demarches de qualification . planification du territoire et d'elaboration de projet de dev .
dsdt: c'est l'art et la maniere de preciser la moins mauvaise route a suivre a moyenne ou longue echeance entrenant compte de: 
*l'environnement externe (risq et opportunites)
*des capacites et possibilites 
plan strategique de territoire : est un plan elaborer par les different acteurs de territoire de facon collective fixer les decision et les projet de territoire a long terme permet de positionner le territoire par rapport au autre voisin.
Un projet territorial de développement vise à aider les collectivités territoriales publiques, les habitants et acteurs du territoire à organiser la gestion durable des ressources naturelles, humaines et énergétiques de manière plus rationnelle, plus économe et plus respectueusement de l'environnement.
Il contribue donc aussi à la sécurité de la collectivité en diminuant la précarité ou vulnérabilité (énergétique et climatique) du territoire, en y favorisant un développement économique durable et soutenable, et en améliorant sa résilience face aux crises.
Le montage d’un projet territorial :
La phase de montage constitue la base du projet. Elle vise à donner de la consistance à une idée qui deviendra un projet concret et durable .à partir des étapes suivantes :
-          L'identification de l’idée initiale ;
-          La planification ;
-          La recherche de financements.

La gouvernance des PDT est perçue comme processus de coordination des acteurs intéressés par ces projets, notamment publics, mais aussi de construction de la territorialité et d’appropriation des ressources. Cette forme de gouvernance s’adosse dès lors sur une situation de proximité mixte qui combine proximité géographique et proximité institutionnelle des acteurs.

conc : le maroc affiche une volante de changement a travers les differents reformes et initiative qui couronnent la gouvernance territoriale, cependant il existe encore des problemes au niveau de la conception et l'institutionalisation des politiques ou programmes territoriales .
Parallèlement aux réflexions menées par le gouvernement sur la situation de l'administration,Les rapports établis à l'issue de ces études constater  Le fonctionnement de l’administration est handicapé par:une centralisation excessive des compétences et des moyens un mécanisme inefficace de répartition des emplois. des procédures budgétaires et financières paralysantes

الاثنين، 25 يونيو 2018

gouvernance territorial

                                                                                                                    
         I.            Contexte historique :
La globalisation/ la mondialisation et la restructuration :
La mouvance productive et spatiale actuelle sous-tend une série de restructurations. Problèmes et défis planétaires font appel à une "global gouvernance" basée sur plusieurs niveaux de restructurations :
-          Restructuration géopolitiques : faire face au problème globaux et défis planétaires
-          Restructuration sociaux économique
-          Restructuration institutionnelles : rôle de la société civile, mise en réseau et global-gouvernance.
-          Restructuration productives : passage du Taylor-fordisme  au toyotisme
-          Restructuration spatiales : la redécouverte de la dimension locale de proximité du territoire. On parle de l’Etat régions – Etat nations
L’ère de toute nouvelle :
Le 21ème siècle est marqué par la mondialisation des économies, par la globalisation des systèmes productifs et de finance, par l’apparition des villages planétaire, et par un désordre mondiale, ainsi par l’apparition de nouveaux outils d’aide à la gestion de la chose publique (TIC, marchés financiers, offshoring, e-commerce, e-marketing, e-administration, management..). Dans ce sens une nécessité d’ancrage local est apparue, dans une perspective de la « Glocalisation ».
A ce niveau, tous les acteurs territoriaux (entreprises, Etat, territoire, Etat civil,..) sont interpellés, pour participer à un DTD. Les entreprises et les autorités locales y participent à travers l’intégration volontaire de la RSE.
En effet, on n’est plus dans la question de « plus d’Etat » ou «moins d’Etat», mais surtout de «mieux d’Etat ». Le caractère subsidiaire de l’Etat est apparu face à la multiplication des échelons d’intervention : local, régional, national ou international.






                                                                                                                          II.            La réforme de l’Etat :
A l’instar d’autre pays du monde, le Maroc a mis en œuvre, depuis les années 80, un vaste programme d’ajustement structurel ayant pour objectif le rétablissement de la stabilité macro-économique. Cette stabilité s’est accompagner d’une accentuation du caractère libéral de notre économie et une ouverture active sur l’extérieur, suivie d’un désengagement progressif de l’Etat au profil des opérateurs privés.
Des évolutions importantes sont observées, sur le plan politique, social, économique. Ainsi que de nombreuses réformes connues par l’administration publique dans le cadre de sa modernisation.
                       
                        Après, son  indépendance le Maroc entre dans une voie de restructuration suivie, qui commence par un découpage purement sécuritaire. Ainsi que des changements continus au niveau des prix de matières premières et du phosphate, avec la mise en œuvre de la 1ere charte communale. Suivie d’une sécheresse aigue dans les années 80. Et un plan d’ajustement structurel dans l’année 1983.

Ces différents changements ont poussé le Maroc a adopté un découpage en 16 R basé sur la réforme institutionnelle.
è Ensuite en 2005, le Roi  du Maroc fait appel au rapport séquentenaire.
è Puis en 2011, la nouvelle constitution à vue le jour, ce qui met en place la liaison entre la responsabilité et la reddition des comptes. Ainsi qu’une loi organique qui détaille l’ensemble des réformes.
è Finalement en 2015, le Maroc s’est doté d’un découpage territorial. Il compte 12 R, ce processus est détailler au niveau de 3 lois à savoirs, 111-14, 112-14 ; 113-14.






                                                                                                                         III.            Loi relatives aux CT :
Afin d’atteindre un développement régional intégré et durable et en vue de contribuer à la modernisation  des structures de l’Etat et d’accroitre son efficience et son efficacité pour les services rendus aux citoyennes et citoyens, les nouvelles lois organiques relatives aux collectivités territoriales sont venues pour dessiner une nouvelle architecture territoriale du Maroc basée sur la régionalisation avancée et sur des fondements constitutionnels. 
è Loi organique relative aux régions : 111-14
è Loi organique relative aux préfectures/ provinces : 112-14
è Loi organique relative aux communes : 113-14
Ces projets de lois organiques se réfèrent aux dispositions de l'article 146 de la Constitution et aux Hautes orientations Royales visant l'instauration d'une régionalisation avancée. Ils sont également fondés sur les conclusions de la commission consultative sur la régionalisation et ce, conformément à des objectifs bien déterminés visant le renforcement de la démocratie locale, l'élargissement du rôle des collectivités territoriales dans le développement, la conception de mécanismes de renforcement de la participation dans la gestion de la chose locale, l'efficacité dans la gestion locale et la mise en œuvre des principes et règles de la bonne gouvernance prévues par la Constitution. 












    IV.            Gouvernance territoriale : rôles, mécanismes et composition des organes de gouvernance
La gouvernance : est un terme fourre-tout, utilisée dans plusieurs sens, partout et par tous, au Nord comme au Sud, dans le secteur public et privé, par les expert et les profane, au niveau local ainsi que global, dans plusieurs domaines et dans nombreux champs disciplinaire.
La gouvernance : est la mise en place des politiques et la surveillance continue de leur bonne application par les membres de l’organe directeur d’une organisation.
Ou :
L’utilisation de l’autorité politique et l’exercice du contrôle en rapport avec la gestion des ressources d’une société en vue du développement économique et social.
En bref, la G est une boite à outil managériale qui exige le droit de regard, sur les organismes et les organisations par ceux qui les ont missionnés (ées).
De la G à la GT :
La G concertée : dispositif de co-construction des décisions publiques associent les représentants des différentes parties prenantes.
GT : met en place de nouvelles modalités et pratiques d’action, supposant la participation et l’innovation dans le pilotage. C’est une approche intégrée permettant de concilier une pluralité d’objectifs et mutualisation des services/ fonctions.
·         Objectifs GT :
-          La synergie
-          Rationalisation de l’action publique
-          Favoriser les approches transversales
-          Articuler les priorités entre territoires
·         Principes de la GT : (règles)
-          Participation
-          L’autorité de la loi
-          Transparence
-          Réactivité
-          Recherche du consensus
-          Equité et absence d’exclusion
-          Efficacité
-          Responsabilité
·         Rôles de la GT :
-          Tenir en compte le contexte culturel et institutionnel territorial
-          Adapter les appuis à la GT aux stratégies nationales
-          Améliorer les négociations et le dialogue entre les acteurs
-          Renforcer la pratique de la reddition des comptes.
·         Les organes de la GT :
Dans le cadre de la territorialisation de l’action publique et de la bonne G territoriale, il a eu une répartition des compétences entre l’Etat et les collectivités territoriales, ce qui invoquent nécessairement la politique de décentralisation et de déconcentration.
La cohérence et la coordination de tous les acteurs territoriaux est une nécessité pour que la GT puisse avoir lieu.
A ce niveau, on trouve 3 principaux organes des CT :
-          Les CT (commune, province/ préfecture, région)
-          Organes délibératif (conseil)
-          Organes exécutif (président et gouverneur)
En effet, on peut distinguer entre :
-          Les compétences propres (à l’Etat)
-          Les compétences partagées
-          Les compétences transférées
Les relations entre les différents niveaux :
Niveau national (gouvernement)
Niveau régional (région- wali)
Niveau provincial (province/ préfecture- gouverneur)Rounded Rectangle: Chef du cercle 
Rounded Rectangle: Caïd/ Pacha                                      Niveau infra-provincial (commune)              
 

                                         Sté civile                                      secteur privé

                   Influencent sur le développement territorial
 

GT et le développement T
   V.            Gouvernance de la finance des collectivités territoriales :
La gouvernance financière : c'est un ensemble des processus, règles, normes, valeurs et institutions grâce auxquels les différents acteurs (organismes publics locaux, d’État, entreprises…) gèrent les systèmes et les marchés financiers sur tous les territoires, aussi bien à l’échelle mondiale que locale.
La décentralisation financière :
L’octroi d’une autonomie de gestion pour certaines formes de fiscalité et la collecte des taxes communales.
Le budget : est l’acte par lequel est prévu et autorisé, pour chaque année budgétaire, l’ensemble des ressources et des charges de la collectivité territoriale (région, préfecture/province, commune) ou du groupement.
è L’année budgétaire commence le 1er janvier et se termine le 31 décembre de la même année.
Le budget comprend deux parties :
Rounded Rectangle: Les opérations de fonctionnement : recettes et dépenses. Rounded Rectangle: Les opérations d’équipement :      l’ensemble des ressources affectées à l’équipement et l’emploi qui en est fait.
 




N.B : le budget doit être équilibré dans chacune de ses parties.
Les étapes de la préparation du budget :
-          La préparation (par le président du conseil pour les communes urbaines et rurales et par leurs groupements et par l’ordonnateur pour les régions, les préfectures et provinces)
-          Le vote
-          La présentation à l’approbation
-          Exécution budgétaire.
La régionalisation avancée est synonyme d’élargissement des pouvoirs de gestion et de décision dans le domaine financier. Dans ce contexte, la mobilisation des ressources financières supplémentaires mais aussi et surtout l’amélioration de leur gestion s’avèrent primordiales. Le contrôle, qu’il soit effectué a priori ou à posteriori, revêt ici toute son importance.
Deux types de contrôles sont à distinguer :
-          Un contrôle a priori exercé par des instances internes ou externes aux collectivités territoriales avant l’exécution de la décision d’ordre financier. Le contrôle qui s’exerce par les walis, les gouverneurs, le Ministre de l’intérieur et le comptable public est d’ordre administratif, alors que celui exercé par l’organe délibérant est de nature politique.
-          Un contrôle a posteriori qui intervient après l’exécution effective des décisions financières des collectivités territoriales. Ce contrôle s’exerce par des organes administratifs à savoir, l’Inspection Générale des Finances (IGF) et l’Inspection Générale de l’Administration Territoriale (IGAT) et des organes juridictionnels en l’occurrence, les cours régionales des comptes.





















    VI.            La gestion participative, quel apport en terme de « bonne gouvernance »
Depuis plusieurs années, le Maroc s’est inscrit dans une dynamique de réformes graduelles qui visent à consolider les bases d’un État de droit et à renforcer ses institutions constitutionnelles. Cette dynamique de changement ouvre la voie aux contributions de tous les acteurs à l’édification d’une société moderne où les citoyens et citoyennes jouissent pleinement de leurs droits à part égale. La Constitution de 2011 en est la preuve : Elle représente le couronnement et le fruit de tous les efforts déployés par le Royaume et constitue le fondement de la participation, du pluralisme et de la bonne gouvernance aussi bien au niveau national que local. La philosophie qui devrait nous guider dans le renouvellement de l’Administration est celle d'une Administration participative dans la cadre d’une gestion participative, transparente, responsable, légaliste, efficace et équitable. Il s'agit de faire de l'Administration une institution démocratisée avec des structures participatives et décentralisées favorisant la circulation de l'information et la privatisation.
La gestion participative, est une approche de gestion qui associe les divers partenaires au processus de gestion notamment à la prise de décision, au contrôle et à l'évaluation.
Selon la banque mondiale (1999) la bonne gouvernance recouvre :
è La capacité du gouvernement à gérer efficacement ses ressources et à mettre en œuvre des politiques pertinentes ;
è Le respect des citoyens et de l’Etat pour les institutions ;
è L’existence d’un contrôle démocratique sur les agents chargés de l’autorité.
Les caractéristiques d’une BG, selon l’ONU sont:
-          La transparence ;
-          La responsabilité ;
-          L’obligation de rendre compte ;
-          La participation ;
-          La prise en compte des besoins de la population.
Il existe une corrélation étroite entre la gouvernance et le développement, ainsi qu’une relation de complémentarité entre la BG et la participation. En effet la BG exige la participation de la population, la transparence des autorités, la prévoyance, la compréhension, du jugement et beaucoup de confiance. De même qu’une saine gouvernance se base sur la reddition de comptes. Tous sa pour assurer une croissance et un développement humain durable.
                       VII.            Gouvernance en matière de montage et de pilotage des projets territoriaux de développement
En vue, d’améliorer la démarche de la G classique, les pouvoirs territoriaux cherche de nouveaux modes d’organisation et de gestion territoriale. Le territoire n’est plus gouverné par un « gouvernement » (au sens classique), mais par « une coordination d’acteurs privés, publics ou mixtes » où la gouvernance apparaît comme un «instrument de mobilisation sociale ». En effet il a eu la mise en œuvre de plusieurs politiques publiques par le gouvernement en matière de montage et de pilotage des projets territoriaux, afin d’assurer le développement durable des territoires.
Un projet territorial de développement vise à aider les collectivités territoriales publiques, les habitants et acteurs du territoire à organiser la gestion durable des ressources naturelles, humaines et énergétiques de manière plus rationnelle, plus économe et plus respectueusement de l'environnement.
Il contribue donc aussi à la sécurité de la collectivité en diminuant la précarité ou vulnérabilité (énergétique et climatique) du territoire, en y favorisant un développement économique durable et soutenable, et en améliorant sa résilience face aux crises.
Le montage d’un projet territorial :
La phase de montage constitue la base du projet. Elle vise à donner de la consistance à une idée qui deviendra un projet concret et durable .à partir des étapes suivantes :
-          L'identification de l’idée initiale ;
-          La planification ;
-          La recherche de financements.
La gouvernance des PDT est perçue comme processus de coordination des acteurs intéressés par ces projets, notamment publics, mais aussi de construction de la territorialité et d’appropriation des ressources. Cette forme de gouvernance s’adosse dès lors sur une situation de proximité mixte qui combine proximité géographique et proximité institutionnelle des acteurs.
L’élaboration d’un projet territoriale doit respecter certaines étapes :
-          Un diagnostic de territoire pour déterminer les forces et les faiblesses. Risques et atouts d’avenir.
-          définition stratégique qui permet d’établir les objectifs prioritaires pour valoriser les atouts et franchir les obstacles.
-          identification de l’action concrète adaptée aux besoins de la population.
Pilotage d’un projet territorial :
Le pilotage permet d’assurer un suivi fiable du projet, de mesurer précisément l’avancement du projet, et de prendre les bonnes décisions en cas de difficulté. Il permet de comparer la réalité et le prévisionnel.
Le pilotage (de la décision à la mise en œuvre) d’un projet territorial de développement nécessite une organisation adaptée et souple pour permettre la cohérence des politiques menées dans chaque domaine concernant le territoire et leur articulation avec celles des autres territoires proches ou lointains.
Le pilotage nécessite la maitrise de trois processus :
-          Le pilotage du processus de connaissance ;
-          Le pilotage des ressources ;
-          Le pilotage de la conduite du changement.

Les projets territoriaux nécessitent évidemment d’être encadrer par une gouvernance qui veille sur l’implication croissante des acteurs locaux privés, publics et associatifs dans les dynamiques de développement. En effet un territoire peut être mobilisé et valoriser à travers l’implication de ses acteurs dans une démarche partenariale et participative de projets de développement qui vont servir à faire évoluer l’esprit de responsabilité.